Anxiété
L’anxiété est un état psychologique et physiologique caractérisé par des composants somatiques, émotionnels, cognitifs et comportementaux.
En l'absence ou en présence de stress psychologique, l'anxiété peut créer des sentiments envahissants de peur, d'inquiétude et de crainte. L'anxiété est considérée comme une réaction « normale » dans une situation stressante. Lorsque l'anxiété devient excessive, elle peut être classifiée sous la dénomination de « trouble de l'anxiété ». L'intensité et le fonctionnement du sujet renseignent le praticien pour déterminer s'il s'agit d'une réaction naturelle ou pathologique.
L'anxiété est un état qui peut souvent survenir sans stimulus identifiable. Comme telle, elle est distinguée de la peur, qui est une réponse émotionnelle aux menaces perçues. De plus, la peur est liée aux comportements spécifiques de la fuite et de l'évitement, alors que l'anxiété est liée aux situations perçues comme étant incontrôlables ou inévitables. Un point de vue alternatif définit l'anxiété en tant qu'« état d'âme orienté sur l'avenir durant lequel l'individu s'attend à recevoir des réponses négatives », qui suggère que c'est une distinction entre dangers futurs et dangers présents qui fonde la différence entre l'anxiété et la peur.
Besoin
Parmi ceux-ci, certains sont habituellement catégorisés comme des besoins primaires, besoins élémentaires, besoins fondamentaux, besoins indispensables, ou encore besoins physiologiques. Ils incluent les éléments indispensables à la survie : respirer, boire, manger, éliminer, se protéger du froid et de la chaleur, être en sécurité, dormir. Plus généralement, on parle de besoins vitaux. Ils sont au nombre d'une bonne cinquantaine et s'inscrivent dans d'autres catégories : psychologiques, émotionnels, intellectuels et spirituels interconnectées entre eux et avec les besoins physiologiques.
Communication
La communication est l'ensemble des interactions avec autrui qui transmettent une quelconque information. On distingue la communication interpersonnelle, la communication de groupe et la communication de masse, c'est-à-dire de l'ensemble des moyens et techniques permettant la diffusion du message d'une organisation sociale auprès d'une large audience.
Elle concerne aussi bien l'être humain, l'animal, la plante (communication intra- ou inter- espèces) ou la machine (télécommunications, nouvelles technologies…), ainsi que leurs hybrides : homme-animal, hommes-technologies… C'est une science partagée par plusieurs disciplines qui ne répond pas à une définition unique. Comme le constate Daniel Bougnoux : « Nulle part ni pour personne n'existe LA communication. Ce terme recouvre trop de pratiques, nécessairement disparates, indéfiniment ouvertes et non dénombrables1 ». Si tout le monde s'accorde pour la définir au moins comme un processus, les points de vue divergent lorsqu'il s'agit de la qualifier.
Les « sciences de l'information et de la communication » proposent une approche de la communication basée sur la théorie de l'information, éventuellement complétée par les apports des sciences cognitives. La psychologie sociale s'intéresse essentiellement à la communication interpersonnelle. La psychanalyse traite de la communication intra-psychique.
Un métier de la communication est une activité professionnelle destinée à convaincre ou persuader à travers les médias, le nom moderne de la rhétorique.
Confiance en soi
Le concept de self-confidence ou confiance en soi est communément utilisé comme confiance en soi dans le jugement personnel, la capacité, le pouvoir, etc. On augmente la confiance en soi à partir des expériences qui permettent de maîtriser des activités particulières. C'est une croyance positive que dans le futur, on peut généralement accomplir ce que l'on souhaite faire.
La confiance en soi n'est pas la même chose que l'estime de soi, qui est une évaluation de sa propre valeur, alors que la confiance en soi est plus précisément la capacité d'atteindre un objectif, ce qu'une méta-analyse suggère être une généralisation de l'auto-efficacité. Abraham Maslow et beaucoup d'autres après lui ont souligné la nécessité de faire la distinction entre la confiance en soi en tant que caractéristique de personnalité généralisée et la confiance en soi concernant une tâche, une capacité ou un défi spécifique (efficacité personnelle).
La confiance en soi fait généralement référence à la confiance en soi générale. Ceci est différent de l'auto-efficacité, que le psychologue Albert Bandura défini comme « une croyance en la capacité de réussir dans des situations spécifiques ou d'accomplir une tâche »
Conflit
Un conflit, ou situation conflictuelle, est un état d'opposition entre personnes ou entités. Le conflit est chargé d'émotions telles que la colère, la frustration, la peur, la tristesse, la rancune, le dégoût. Parfois, il peut être fait d'agressivité et de violence.
Le terme conflit est également utilisé pour décrire un état de contradiction (par exemple contradiction de textes juridiques ou conflit de loi) ou de contre-indications (par exemple l'usage de médicaments par des patients présentant des pathologies particulières) ou d'incompatibilité (systèmes en place mais dont la coexistence dans un même contexte ou dans une même vision n'est pas garantie).
Définition du conflit entre personnes
Le fait de ne pas être d'accord avec des idées ne caractérise pas forcément une situation de conflit. Celui-ci survient souvent quand une des parties essaie d'affirmer ses positions sans tenir compte des positions des autres
Au sens strict, un conflit est un contentieux sur un ou des points de droit. On entend par conflit, au sens profond ou authentique du terme, l’affrontement de deux ou plusieurs volontés individuelles ou collectives qui manifestent les unes à l’égard des autres une intention hostile et une volonté d’agression, à cause d’un droit à retrouver ou à maintenir. Ces volontés essaient de briser la résistance de l’autre, éventuellement par le recours à la violence. En ce sens, la guerre est l'exemple paradigmatique du conflit armé.
Conflit / Conflit intérieur
Le conflit est une opposition entre deux ou plusieurs personnes qui se heurtent à des idées ou à des opinions divergentes et où les attentes des unes sont souvent en oppossition avec les attentes des autres. Un conflit, ou situation conflictuelle, est un état d'opposition entre personnes ou entités. Le conflit est chargé d'émotions telles que la colère, la frustration, la peur, la tristesse, la rancune, le dégoût. Parfois, il peut être fait d'agressivité et de violence. Autre: conflit intérieur entre son cerveau et émotion.
Connaissance de soi
La connaissance de soi est le savoir qu'une personne acquiert sur elle-même, en termes psychologiques ou spirituels, au cours de sa vie à l'occasion de ses expériences.
La connaissance de soi sollicite la rectitude de la pensée, l'esprit critique et une certaine considération pour le « regard » extérieur des autres. Par sa nature subjective, elle sollicite pour se consolider les exigences métacognitives et en retour, le gain de lucidité sur les caractéristiques personnelles rend possible un savoir plus consistant.
Conscience
Du latin conscientia, lui-même composé du préfixe con- (« avec ») et de scientia (« connaissance »).
Elle désigne la « capacité mentale à porter des jugements de valeur moraux […] sur des actes accomplis
par soi ou par autrui. Autre: la capacité de rendre ses actions , émotions et comportements à l'analyse et ceux des autres.
Le terme de conscience peut faire référence à au moins quatre concepts philosophiques ou psychologiques :
- Au sens psychologique, elle se définit comme la « relation intériorisée immédiate ou médiate qu'un être est capable d’établir avec le monde où il vit ou avec lui-même ». En ce sens, elle est fréquemment reliée, entre autres, aux notions de connaissance, d'émotion, d'existence, d'intuition, de pensée, de psychisme, de phénomène, de subjectivité, de sensation, et de réflexivité. Ce sens correspond par exemple à l'allemand Bewusstsein et à l'anglais consciousness, et en français à la locution plus précise "d'état de conscience". La conscience est « cette capacité de nous rapporter subjectivement à nos propres états mentaux ».
- Au sens moral, elle désigne la « capacité mentale à porter des jugements de valeur moraux […] sur des actes accomplis par soi ou par autrui ». En ce sens, elle correspond par exemple à l'allemand Gewissen et à l'anglais conscience.
- En tant que critère de catégorisation conceptuelle, elle représente le trait distinctif caractérisant l'humanité d'un sujet et par extension la spécificité caractérisant l'ensemble éponyme de ces sujets.
- Par métonymie, elle désigne la totalité formée par l'ensemble des représentations d'un sujet conscient, tout au moins de ses représentations conscientes.
Croissance personnelle
Le développement personnel est un ensemble hétéroclite de pratiques, appartenant à divers courants de pensées,
qui ont pour objectif l'amélioration de la connaissance de soi, la valorisation des talents et potentiels,
l'amélioration de la qualité de vie personnelle, la réalisation de ses aspirations et de ses rêves.
Croyance
La croyance est le processus mental expérimenté par une personne qui adhère à une thèse ou une hypothèse, de façon qu’elle les considère comme vérité, indépendamment des faits, ou de l'absence de faits, confirmant ou infirmant cette thèse ou cette hypothèse. Ainsi, les croyances sont souvent des certitudes sans preuve.
En ce sens, elle s’oppose à la notion d’esprit critique, et trouva son antithèse dans l’instrumentalisme qui considère que les modèles scientifiques ne sont que des instruments nous permettant de concevoir commodément les phénomènes. Un sceptique considère une croyance qu’il ne partage pas comme fausse croyance ; un sceptique radical considère toute croyance, ou plutôt toute vérité, comme fausse et ce jusqu'à preuve du contraire.
Développement émotionnel
Le développement personnel est un ensemble hétéroclite de pratiques, appartenant à divers courants de pensées, qui ont pour objectif l'amélioration de la connaissance de soi, la valorisation des talents et potentiels, l'amélioration de la qualité de vie personnelle, la réalisation de ses aspirations et de ses rêves. Le développement personnel n'est toutefois pas une sorte de psychothérapie et résulte d'influences multiples. En effet, la psychologie et la philosophie, et souvent la diététique et la pratique du sport, fondent généralement les pratiques des acteurs du développement personnel moderne ; d'autres y rattachent également des notions religieuses ou relevant de l'ésotérisme.
Les bases de la psychologie du développement personnel sont d'abandonner toutes les idées négatives et de les reformuler en pensées positives, c'est une ontologie optimiste et simplificatrice qui est associée au volontarisme.
La notion de « développement personnel » recouvre plusieurs domaines, selon qu'elle est utilisée par des formateurs en management ou en vente, des promoteurs de philosophies New Age, certains courants du coaching, des éducateurs et spécialistes du travail, voire par certains thérapeutes. Ainsi, pour la revue Sciences humaines, « les techniques de développement personnel visent à la transformation de soi : soit pour se défaire de certains aspects pathologiques (phobie, anxiété, déprime, timidité), soit pour améliorer ses performances (mieux communiquer, gérer son temps, s'affirmer) ».
Dysfonctionnel
Se dit de quelque chose, particulier d'un système de relations, d'une structure (familiale, sociale), dont le fonctionnement est problématique : Être élevé dans une famille dysfonctionnelle.
Echec
L'échec est l'état ou la condition qui fait que l'objectif désiré ou prévu n'est pas atteint, et peut être vu comme l'opposé de succès, mais cela peut aussi désigner un sentiment qui surgit lorsque l'on regrette quelque chose, au même titre que le regrêt. Dans son sens le plus général, un échec est une situation qui résulte d'une action n'ayant pas abouti au résultat escompté.
Ecoute active
L'écoute active est un concept développé à partir des travaux du psychologue américain Carl Rogers. Elle est également nommée écoute bienveillante. Initialement conçue pour l'accompagnement de l'expression des émotions, elle est opérationnelle dans les situations de face-à-face où le professionnel écoute activement l'autre. Elle consiste à mettre en mots les émotions et sentiments exprimés de manière tacite ou implicite par l'interlocuteur. L'écoute active est plus fine que la reformulation en ce qu'elle ne se limite pas à dire autrement ce qu'une personne vient d'exprimer, mais de décoder la dimension affective généralement non verbalisée.
Emotion
Une émotion est un état affectif bref et intense. C'est une réponse psychophysiologique, c'est-à-dire qu'elle fait appel tant à notre corps (sensations physiques) qu'à notre esprit (mémoire), à une stimulation sensorielle ou une modification de l'environnement. En bref, toutes nos émotions sont des alliées, des informatrices pour savoir ce qui va ou ne va pas en nous. Il y a quatres émotions primaires: la peur, la joie, la peine et la colère.
L'émotion est une expérience psychophysiologique complexe et intense (avec un début brutal et une durée relativement brève) de l'état d'esprit d'un individu animal liée à un objet repérable lorsqu'il réagit aux influences biochimiques (internes) et environnementales (externes). Chez les humains, l'émotion inclut fondamentalement « un comportement physiologique, des comportements expressifs et une conscience ». L'émotion est associée à l'humeur, au tempérament, à la personnalité, à la disposition et à la motivation.
Le mot « émotion » provient du mot français « émouvoir ». Il est basé sur le latin emovere, dont e- (variante de ex-) signifie « hors de » et movere signifie « mouvement ». Le terme lié « motivation » est également dérivé du mot movere.
Plusieurs taxonomies des émotions ont été proposées. Certaines de ces catégorisations incluent :
- émotions « cognitives » par opposition aux émotions « non cognitives » ;
- émotions « instinctives » (des amygdales), par opposition aux émotions « cognitives » (du cortex préfrontal) ;
- émotions « primaires » (existant dans plusieurs espèces animales : rage, vigilance, extase, adoration, terreur, stupéfaction, chagrin et dégoût) par opposition aux émotions « secondaires » (états construits à partir des émotions primaires et d'une multiplicité de représentations additionnelles : représentations de situation de soi, d'objet, d'autrui, de cause).
Empathie
L'empathie1 est la reconnaissance et la compréhension des sentiments et des émotions d'un autre individu. Dans un sens plus général, elle représente la reconnaissance de ses états non-émotionnels, tels que ses propres croyances. Dans ce dernier cas, il est plus spécifiquement question de l’empathie cognitive.
Dans le langage courant, le phénomène d'empathie est souvent illustré par l'expression « se mettre à la place de l'autre ».
Cette compréhension se produit par une décentration de la personne (ou de l'animal) et peut mener à des actions liées à la survie du sujet visé par l'empathie4, indépendamment, et parfois même au détriment des intérêts du sujet ressentant l'empathie.
Dans l'étude des relations interindividuelles, l'empathie est donc différente des notions de sympathie, de compassion, d'altruisme ou de contagion émotionnelle, qui peuvent lui être associées.
Engagement
Acte par lequel on s'engage à accomplir quelque chose ; promesse, convention ou contrat par lesquels on se lie : Contracter un engagement. Faire honneur à ses engagements.
Esprit critique
La pensée critique (traduction littérale de l'anglais critical thinking, rendu plus souvent par esprit critique) est un concept dont les définitions sont nombreuses et parfois contradictoires, qui désigne, dans les grandes lignes, les capacités et attitudes permettant des raisonnements rigoureux afin d'atteindre un objectif, ou d'analyser des faits pour formuler un jugement.
Son utilisation est particulièrement mise en avant en pédagogie. Certains auteurs considèrent que l'école enseigne plus aux élèves des contenus de cours qu'à raisonner correctement, alors qu'elle devrait faire le contraire (ce qui expliquerait par exemple la prolifération actuelle des pseudo-sciences).
Estime de soi
L’estime de soi est, en psychologie, un terme désignant le jugement ou l'évaluation faite d'un individu en rapport à sa propre valeur. Lorsqu'un individu accomplit une chose qu'il pense valable, celui-ci ressent une valorisation et lorsqu'il évalue ses actions comme étant en opposition à ses valeurs, il réagit en « baissant dans son estime ». Selon certains psychologues, l'expression est à distinguer de la « confiance en soi » qui, bien que liée à la première, est en rapport avec des capacités plus qu'avec des valeurs.
Les expériences vécues par un individu durant sa vie développent l'estime de soi. Des expériences positives peuvent favoriser le regard porté sur soi-même, contrairement aux expériences négatives qui défavorisent le regard porté sur soi-même. Durant les premières années de la vie d'un enfant, les parents influencent significativement le développement de son estime de soi, qu'il soit positif ou négatif. Un amour inconditionnel, selon les ouvrages sur la parentalité, est d'une influence notable pour un développement émotionnel stable. Ces émotions affectent l'estime de soi de l'enfant lorsqu'il grandit.
De nombreuses études expérimentales en psychologie du développement montrent des liens de cause à effet entre l'attachement sécure ou sécurisant et la confiance en soi ultérieure.
Pendant les périodes scolaires, les notes représentent un facteur contribuant à l'estime de soi. Un élève qui réussit ou échoue constamment affecte son estime de soi. Les expériences en société sont un autre facteur qui influe significativement. Un enfant, à l'école, peut commencer à se comparer à ses camarades de classe. Ces comparaisons jouent un rôle important dans l'estime de soi de l'enfant et influencent l'avis négatif ou positif qu'il a de lui. À l'adolescence, l'opinion sur l'estime de soi et le regard sur soi deviennent plus importants, car les adolescents se comparent en fonction de leurs relations avec leurs proches amis. Une relation aisée avec des amis est très importante pour le développement de l'estime de soi chez les enfants. L'acceptation sociale amène également une forte estime de soi, tandis que le rejet et la solitude amènent le doute et favorisent le développement d'une faible estime de soi.
L'attitude parentale et le style parental jouent un rôle crucial dans le développement de l'estime de soi. Des élèves à forte estime tendent à être éduqués avec attention et encouragement, ce qui permet aux enfants de prendre des décisions plus hâtivement. Des études rapportent un lien positif entre un style parental autoritatif et le développement de l'estime de soi, comparé aux styles parentaux dits autoritaires, indulgents ou négligeants.
Les bonnes expériences vécues durant l'enfance qui contribuent au développement d'une bonne estime de soi impliquent l'attention des autres, des paroles respectables, une attention et une affection appropriées, ainsi que la reconnaissance de tâches effectuées avec succès. Les mauvaises expériences qui contribuent au développement d'une faible estime de soi impliquent de fortes critiques, du harcèlement ou abus physique, moral ou sexuel, être ignoré, ridiculisé ou intimidé.
Évolution personnelle (développement personnel)
Le développement personnel est un ensemble hétéroclite de pratiques, appartenant à divers courants de pensées1, qui ont pour objectif l'amélioration de la connaissance de soi, la valorisation des talents et potentiels, l'amélioration de la qualité de vie personnelle, la réalisation de ses aspirations et de ses rêves. Le développement personnel n'est toutefois pas une sorte de psychothérapie et résulte d'influences multiples. En effet, la psychologie et la philosophie, et souvent la diététique et la pratique du sport, fondent généralement les pratiques des acteurs du développement personnel moderne ; d'autres y rattachent également des notions religieuses ou relevant de l'ésotérisme. Les bases de la psychologie du développement personnel sont d'abandonner toutes les idées négatives et de les reformuler en pensées positives, c'est une ontologie optimiste et simplificatrice qui est associée au volontarisme.